Carrousel

L’Atomium a la forme d’un cube sur pointe et représente une maille élémentaire de fer (9 atomes de fer) agrandie 165 milliards de fois.

La première proposition est une tour de 231 mètres de haut. Elle présente une structure métallique légère qui s’évase au sommet. Ce projet, à la parenté évidente avec la Tour Eiffel, est rejeté car il manque d’originalité selon ses commanditaires. 

C’est alors que Waterkeyn remarque que, dans la nature, les atomes de fer s’organisent selon une structure cubique régulière que l’on pourrait aisément reproduire à l’échelle d’un édifice. Il réalise donc une maille élémentaire de fer (9 atomes de fer) agrandie 165 milliards de fois qui donne aujourd’hui cette forme de cube sur pointe à l’Atomium, avec 1 atome à chaque angle reliés entre eux par 20 tubes, le tout étant supporté par 3 grands bipodes.

Source

atomium.be | 01 – 02

Encore un CUBE qui pourrait inspirer les réflexions, les conceptions, les réalisations des participants au projet CUBE. Le projet CUBE est une initiative de la fédération Incidence pour une visibilité de ce qui se fait dans le secteur de la Créativité et des Arts en amateur en Wallonie-Bruxelles

04 | Bande dessinée – Le cube envahit la ville
En 1974, le hongrois Erno Rubik invente un étrange cube. Au début des années 80, ce Rubik’s cube, casse-tête géométrique, a rencontré un succès inattendu. Nous y reviendrons. Cette création inspire François Schuiten et Benoit Peeters. Ils imaginent un conte fantastique et tout commence. En 1983, les premières planches de La Fièvre d’Urbicande paraissent dans le magazine (À Suivre…). En 1985, la BD reçoit le prix du Meilleur Album au Festival d’Angoulême.

… Dans la ville Urbicande, l’architecte Eugen Robick reçoit un cube creux et dont les arrêtes sont d’une matière inconnue … Mauvaise manipulation, les arrêtes du cube s’allongent et s’incrustent et envahissent le bureau. De nouveaux cubes naissent et forment un réseau à 3D dont l’expansion n’est pas finie ! Ce réseau croissant modifie l’équilibre social de la ville et crée des liens entre les individus …

« La Fièvre d’Urbicande » est le second album de la série Les Cités obscures. Le dessin est de François Schuiten et le scénario est de Benoit Peeters. La première édition en noir et blanc est parue en 1985 chez Casterman dans la collection Roman (A SUIVRE). Une nouvelle édition en couleur (Jack Durieux) vient de paraitre en octobre 2020. Toujours chez Casterman : cliquez ici

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Source :
Excellente interview de Benoit Peeters François Schuiten et Jack Durieux : cliquez ici
Page web de Casterman – cliquez ici
Echos d’un fan sur Alta Plana (the impossible & infinite encyclopedia of the world created by Schuiten & Peeters) – cliquez ici

Encore un CUBE qui pourrait inspirer les réflexions, les conceptions, les réalisations des participants au projet CUBE.
Le projet CUBE est une initiative de la fédération Incidence pour une visibilité de ce qui se fait dans le secteur de la Créativité et des Arts en amateur en Wallonie-Bruxelles