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Coronavirus : congé de vaccination

Coronavirus : congé de vaccination 1600 1067 Imène Mecellem

L’introduction du congé de vaccination vise à accorder un droit de s’absenter au travailleur qui est appelé pendant ses heures de travail à se faire vacciner.

Le travailleur a le droit de s’absenter de son travail afin de se faire vacciner contre le coronavirus. À cet effet, il bénéficie du temps nécessaire pour se déplacer entre le lieu de travail et le centre de vaccination et du temps nécessaire pour recevoir la vaccination (y compris le temps d’administration et de repos au centre de vaccination). Le congé ne peut être utilisé qu’à cette fin.

Dès que l’heure ou le créneau horaire de la vaccination est connu, la personne doit informer son employeur (si c’est pendant les heures de travail). Si l’employeur le demande, le travailleur doit fournir une preuve : la confirmation du rendez-vous avec l’heure est suffisante. S’il n’y a pas d’heure sur la confirmation du rendez-vous, il doit présenter l’invitation. L’employeur ne peut en aucun cas prendre une copie des documents ; il peut uniquement retranscrire le créneau horaire pour l’administration des salaires. Le motif du petit chômage ne peut pas être renseigné. Ces conditions ont été ajoutées suite à l’avis de l’Autorité de protection des données.

Pendant la période du petit chômage, le travailleur a droit à son salaire normal, qui est calculé comme le salaire pour un jour férié.

Le projet de loi entrera en vigueur le jour de sa publication au Moniteur Belge. Nous publierons le lien ici dès que le texte sera publié. La loi expire le 31 décembre 2021.

Le Roi peut, si nécessaire et après avis du Conseil national du travail, prolonger la loi, l’échéance finale étant fixée au 30 juin 2022.

Pour plus d’infos, vous pouvez consulter la note du SPF Emploi.

Source : unisoc.be
Photo by Mat Napo on Unsplash

COVID-19 | Prolongation du chômage temporaire pour force majeure « Corona »

COVID-19 | Prolongation du chômage temporaire pour force majeure « Corona » 1600 1067 Imène Mecellem
L’ONEm a annoncé sur son site internet la prolongation des mesures dérogatoires en matière de chômage temporaire pour force majeure liées au COVID-19 à compter du 1er avril jusqu’au 30 juin 2021

Pour rappel, les mesures dérogatoires en matière de chômage temporaire pour force majeure sont en vigueur depuis le 13 mars 2020 et ont fait l’objet de plusieurs prolongations depuis lors. Toutes les entreprises pourront encore recourir au chômage temporaire pour force majeure liée au COVID-19 ainsi qu’aux procédures simplifiées jusqu’au 30 juin prochain.

Grâce à ces mesures exceptionnelles, tout chômage temporaire lié au coronavirus est intégralement considéré comme du chômage temporaire pour force majeure. Plusieurs autres mesures d’assouplissement ont été prises pour faciliter le recours au chômage temporaire tant pour l’employeur que pour le travailleur et pour en simplifier la procédure :

  • Application pour les fermetures (complète ou partielle), mais aussi pour des activités/fonctions qui ne sont temporairement plus nécessaires
  • Possibilité d’alterner les jours travaillés et les jours de force majeure
  • Allocation de chômage pour le travailleur augmenté à 70 % de son salaire moyen plafonné (le plafond étant fixé à 2.754,76 € brut par mois). Le travailleur mis en chômage temporaire pour force majeure (motif « coronavirus ») reçoit, en plus de l’allocation de chômage, un supplément de 5,63 € par jour à charge de l’ONEm
  • Exemption de la période de stage pour le travailleur
  • Exemption de plusieurs formalités administratives pour le travailleur et pour l’employeur

La possibilité pour les travailleurs de recourir au chômage temporaire lorsqu’un enfant est dans l’impossibilité de fréquenter l’école, la crèche ou le centre d’accueil pour personnes en situation de handicap, a également été étendue pour la période du 1er avril au 30 juin 2021. Cependant, ce droit ne pourra être exercé que par une seule personne et pendant la même période pour le même enfant.

Cette procédure simplifiée sera d’application jusqu’au 30 juin 2021. Des discussions sont en cours afin de déterminer la procédure en vigueur à partir du 1er juillet 2021. La CESSoC suivra l’affaire de près et vous tiendra informé des modifications éventuelles.

Enfin, concernant l’assimilation des journées de chômage temporaire pour cause de force majeure lié au coronavirus à des journées de travail effectifs dans le cadre du droit aux vacances annuelles, aucune mesure n’a encore été prise et aucun nouvel arrêté royal n’a pas encore été publié à ce jour. La dernière assimilation s’étendait donc du 1er septembre 2020 au 31 décembre 2020.

Source : CESSoC.be

Mesure mobilité – Récolte de données indispensables

Mesure mobilité – Récolte de données indispensables 1600 1067 Imène Mecellem

Chers employeurs du secteur non marchand bruxellois,

La mesure « MOBILITÉ » liée aux Accords Non Marchands bruxellois 2018-2019 vise à renforcer la prise en charge, par les pouvoirs publics, des frais de mobilité domicile – lieu de travail concernant les transports en commun intra-bruxellois (STIB-MTB-Brupass), et ce jusqu’à hauteur de 80%. Son objectif est de renforcer l’attractivité des métiers, la stabilité financière des ASBL, la mobilité et l’environnement.

La mise en œuvre de cette mesure nécessite de disposer de données fiables de la part des employeurs du secteur non marchand pour objectiver l’état de la situation et réaliser des projections budgétaires.

C’est pourquoi nous vous demandons de compléter le formulaire simplifié réalisé par les administrations avant le 20 avril 2021. Celui-ci vise à récolter les données de votre institution sur le nombre de travailleurs utilisant un abonnement STIB, le coût total de ces abonnements et la partie de ce coût prise en charge par les pouvoirs de tutelle. Vous trouverez davantage de précisions sur le formulaire en lui-même – cliquez ici

Source : CESSoC.be
Photo by Remco Mariën on Unsplash

 

COVID-19 | ONSS – Corona déclaration télétravail

COVID-19 | ONSS – Corona déclaration télétravail 1600 1067 Imène Mecellem

Le dernier Comité de concertation a pris une série de mesures supplémentaires pour enrayer la propagation du virus dont des contrôles du télétravail plus stricts.

A partir du 29 mars, toute entreprise ayant du personnel devra informer l’ONSS, par un système d’encodage électronique, avant d’accueillir des travailleurs dont la fonction implique une présence sur le lieu de travail.

Le but est de faciliter les contrôles de l’inspection sociale en comparant plus simplement les données enregistrées et la situation réellement constatée dans l’entreprise.

 Le formulaire ainsi que les instructions sont à présent en ligne – cliquez ici

Nouvelles d’ici et d’un peu plus loin … #33

Nouvelles d’ici et d’un peu plus loin … #33 1280 850 Imène Mecellem

26.03.2021

54ème … Et ça rebloque !

Le dernier CODECO ne nous a pas donné de bonnes nouvelles. La situation sanitaire est redevenue fortement critique.

Vous êtes nombreux à nous demander les dernières mesures à appliquer à la fois pour la semaine prochaine et pour les deux semaines de congés de Pâques.

Actuellement, nous n’avons toujours pas le texte juridique qui nous permette de vous affirmer les choses. Cependant, le protocole en vigueur pour la Culture a été modifié, à la marge (surligné en jaune dans le texte). Dès que nous réceptionnons des informations juridiques fermes, nous vous en ferons part.

Que vous dire d’autre ? D’essayer de garder la tête froide, de recueillir un peu de sérénité dans les petites choses du quotidien… De vous souhaiter d’avoir la banane dès le lever du jour, le feu sacré lumineux et communicatif !

Energie, force et courage à vous !

Les Incidant·e·s

CUBE | Inspiration – Boites à miroirs

CUBE | Inspiration – Boites à miroirs 2374 1252 Imène Mecellem

13 | Infinity Mirror Rooms de Yayoi Kusama

Prêtresse d’un art total, hypnotique et coloré, la Japonaise Yayoi Kusama (née en 1929) est connue dans le monde entier pour ses impressionnantes installations immersives. Elle est également une figure emblématique des années hippies. Touchée par un trouble obsessionnel, elle décline les pois à l’infini, envahissant entièrement l’espace. L’artiste, à la personnalité excentrique, a aussi marqué les années 1960 avec ses performances liées à la nudité et à la liberté de jouir de son corps. Depuis 1973, elle vit dans un hôpital psychiatrique au Japon et continue de créer des œuvres abstraites marquées par le principe de l’accumulation.

Les salles de miroir de Yayoi Kusama sont devenues synonymes de son extraordinaire popularité actuelle. Les rapports de ses récentes expositions présentent inévitablement des descriptions de foules faisant la queue pendant des heures pour apercevoir le plus petit aperçu de ces créations séduisantes, même si les heures de visionnage sont limitées – souvent à moins d’une minute – pour répondre à la demande sans précédent de la vision artistique de Kusama. Les œuvres miroir de Kusama sont en effet fascinantes, mais bien qu’elles soient au cœur de sa renommée publique actuelle, elles ont, comme le reste de sa pratique, une longue histoire.

Les œuvres originales en miroir de Kusama ont été créées au cours de la décennie intensément inventive qui a suivi son arrivée à New York en tant qu’artiste de 29 ans en 1958. C’est là que les petites aquarelles aux influences surréalistes produites au début de sa carrière au Japon ont grandi. dans d’immenses toiles abstraites. Exécutées à l’huile avec une palette extrêmement restreinte, ces peintures se composaient de minuscules boucles qui s’accumulaient en «filets» qui recouvraient la toile d’un bord à l’autre. Ces œuvres ont pris de l’ampleur, couvrant à un moment donné un mur de dix mètres de long, signalant que la surface de la toile n’était plus suffisante pour l’ambition artistique de Kusama. Elle est ensuite passée à la sculpture, fixant des protubérances cousues et rembourrées qu’elle appelait “ phalli ” à toutes sortes d’objets du quotidien, comme si les boucles avaient pris une forme tridimensionnelle et recouvraient toutes les surfaces imaginables.

Présenté pour la première fois en novembre 1965, Infinity Mirror Room Phalli’s Field utilisait des miroirs pour élargir considérablement l’espace que les phallus pourraient potentiellement occuper. En construisant une petite pièce avec quatre murs en miroir, elle a créé l’illusion d’un espace sans fin, les objets à l’intérieur semblant se multiplier à l’infini. Entourant, désorientant et séduisant son public, l’œuvre a été une étape importante pour l’artiste. Non seulement son effet perceptif était profond, mais il réalisa le désir de Kusama de visualiser l’infini, tout en amplifiant puissamment ses concepts fondamentaux de répétition et d’accumulation.

La suite > Reuben Keehan présente un historique des salles infinies de Kusama 

Sources :

Site officiel de Yayoi Kusama 
Yayoi Kusama à Beaubourg – se perdre dans l’infini des miroirs 
Présentation à Nancy en 2017 
Les « Lucioles sur l’eau » de Yayoi Kusama – la magie de l’univers dans une capsule 
Vidéo – Yayoï Kusama au Musée des Beaux-Arts de Nancy en 2017. Œuvre intitulée « Pièce avec une infinité de miroirs et de lucioles sur l’eau » (2000) :

Petit clin d’œil à @Sylvie-Anne


Encore un CUBE qui pourrait inspirer les réflexions, les conceptions, les réalisations des participants au projet CUBE.
Le projet CUBE est une initiative de la fédération Incidence pour une visibilité de ce qui se fait dans le secteur de la Créativité et des Arts en amateur en Wallonie-Bruxelles

 

29/03 | Préavis de grève

29/03 | Préavis de grève 1600 1067 Imène Mecellem

La CSC et la FGTB annoncent une action le 29 mars 2021 dans le cadre des négociations AIP (suite aux actions de février) –
Préavis de grève

COVID-19 | Aides aux opérateurs culturels

COVID-19 | Aides aux opérateurs culturels 1600 1067 Imène Mecellem


Aides directes aux opérateurs culturels bénéficiant de subsides structurels ou ponctuels de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Cette mesure s’adresse aux opérateurs culturels soutenus structurellement ou ponctuellement par la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Ces aides s’inscrivent dans le plan de soutien global aux secteurs de la culture et du cinéma dans le cadre de la seconde vague de la crise sanitaire du COVID-19.

Procédure
Les opérateurs souhaitant introduire une demande de soutien sont invités à remplir le formulaire SUBside à partir de cette page. Ce formulaire unique permet à l’opérateur de définir le type de soutien auquel il souhaite et peut accéder.

Calendrier
Mise en ligne du formulaire SUBside : lundi 15 mars 2021
Clôture du formulaire : mercredi 21 avril à midi (à 12h)


Source : Culture.be

CUBE | Inspiration – Néons

CUBE | Inspiration – Néons 2374 1252 Imène Mecellem

12 | Square Prism de Nathaniel Rackowe (Evi Lichtungen, Hildesheim, Allemagne 23-26 janvier 2020)

Nathaniel Rackowe né en 1975, est un artiste britannique basé à Londres. Ses structures urbaines référencées souvent à grande échelle et ses sculptures lumineuses sont conçues pour recréer l’expérience de la navigation dans la ville qui nous entoure. Influencé par le modernisme, Nathaniel Rackowe utilise les produits dérivés fabriqués en masse de cette époque – verre, plastiques ondulés, béton, échafaudages, parpaings et bandes lumineuses – pour recréer l’expérience collective et les sensations visuelles de la vie urbaine contemporaine.

Square Prism est une installation lumineuse séquencée et limitée dans le temps qui a été spécialement conçue pour un point de vue unique d’Hildesheim.
Les lignes lumineuses de la lumière de Square Prism s’illuminent progressivement jusqu’à ce que la composition change et prenne de la vitesse, et l’œuvre forme un cube, un prisme de lumière carré, à la fin de la séquence.
L’œuvre reprend la géométrie que l’on rencontre dans l’environnement urbain et renvoie directement aux célèbres tours d’église carrées, que l’on peut voir de son point de vue. La pièce attire l’attention sur la beauté souvent cachée des villes et les formes de base qu’elles contiennent.
La sculpture de Nathaniel Rackowe revient au minimalisme américain, à Dan Flavin et Donald Judd. Il s’engage avec leur esthétique rigoureuse et leur utilisation dramatique de la lumière : ils ont été une première influence.

Les œuvres de Nathaniel Rackowe font partie de collections publiques remarquables du monde entier. En plus de sa récente installation, Origin, à Aarhus au Danemark, d’autres projets d’art public ont été réalisés à Dubaï, Beyrouth, Paris, Copenhague et Lima.

Sources :
Site de l’artiste 
Fiche de l’œuvre à Hildesheim en Allemagne : 01 | 02
Page facebook de l’artiste

Merci à lorka pour la piste


Encore un CUBE qui pourrait inspirer les réflexions, les conceptions, les réalisations des participants au projet CUBE.
Le projet CUBE est une initiative de la fédération Incidence pour une visibilité de ce qui se fait dans le secteur de la Créativité et des Arts en amateur en Wallonie-Bruxelles

 

Nouvelles d’ici et d’un peu plus loin … #32

Nouvelles d’ici et d’un peu plus loin … #32 1280 850 Imène Mecellem

52ème … Toujours le brouillard avec une fine lumière à l’horizon

Le protocole pour les opérateurs culturels vient d’être modifié. Il permet ENFIN l’ouverture des activités socioculturelles pour tous les âges à destination des publics vulnérables.
Notre petite gueulante a enfin porté quelques fruits… Les opérateurs socioculturels et d’éducation permanente peuvent organiser des activités :

Pour les moins de 13 ans :

  •  En intérieur : un ou plusieurs groupes de maximum 10 enfants (encadrement non compris)
  • En extérieur : un ou plusieurs groupes de maximum 25 enfants (encadrement non compris)

De 13 à 18 ans accomplis :

  • En extérieur uniquement : un ou plusieurs groupes de maximum 10 jeunes par activité (encadrement non compris).
    Les personnes rassemblées dans le cadre de ces activités, doivent rester dans un même groupe et ne peuvent pas être mélangées avec les personnes d’un autre groupe.

Personnes vulnérables :
Concernant les personnes moins valides ou vulnérables, des activités de soins, d’accueil et d’assistance, d’intégration et d’insertion sont autorisées :

  • En intérieur : un ou plusieurs groupes de maximum 10 participants (encadrement non compris).
    Le cas échéant, un niveau de protection maximal doit être assuré aux personnes plus fragiles (personnes porteuse d’un handicap, personnes âgées).

Il est recommandé de ne pas accueillir des groupes de plus de 10 personnes en même temps.

Le public vulnérable est identifié comme suit : (…) « aux personnes âgées, aux mineurs, aux personnes moins valides et aux personnes vulnérables (dont les victimes de violences sexuelles, intra-familiales ou autres) … personnes porteuses d’un handicap ».

Si vous avez habituellement des publics plus vulnérables pour participer à vos activités, vous pouvez donc les rouvrir pour ces personnes par groupe de 10 maximum.

Pour les autres activités et publics, l’ouverture potentielle se profile à partir du 1er avril. La Ministre Linard, rencontrée ce jeudi, a toutefois précisé que rien ne serait décidé avant le prochain CodeCo qui aura lieu le 26 mars, en espérant que celui-ci soit enfin le bon et qu’il propose des perspectives claires et nettes pour la réouverture du secteur progressivement en avril, mai et juin.

C’est « au moins pire » comme dirait l’autre… c’est un « mieux que rien » … bien que ça ne soit pas suffisant ! Hélas.

La 52ème semaine, et nous vous soufflons d’encore et toujours tenir ! D’encore regarder un peu plus loin pour sentir à nouveau de l’air frais de l’ouverture.

Force et courage à vous.

Les Incidant·e·s